• T'en souviens-tu ?




     

     

     

     

    Te souviens-tu

     
    Quand nos coeurs se parlaient

     
    Que nos mots n'étaient qu'amour

     
    Que nos plaisirs étaient les mêmes

     
    Que ton bonheur était le mien



    Te souviens-tu


    Que tu m'aimais tendrement


    Tu me l'avais dit, je n'ai pas rêvé


    Je t'appelais mon prince


    J'étais ton petit ange



    Je me souviens de notre amour


    Je ne me souviens que de toi


    Comme si rien d'autre n'avait existé



    Je t'aimais tant...

     

     


    Ecrit le 23/05/2009

    « AngoisseCes jours-là »

  • Commentaires

    1
    Lundi 25 Mai 2009 à 12:00
    Qu'est-ce qu'il est merveilleux celui-ci, plein de nostalgie, plein d emanque, plein de tristesse....On croit avoir tout perdu, puis un jour on se relève et l'on revit un peu, même si le grand amour ne percute nos coeurs qu'une seule fois par vie! La suite, c'est une accomodation (si le terme existe????) à une autre personne....
    2
    Lundi 25 Mai 2009 à 12:00
    Que c'est poignant, ça va droit aux tripes....ce désespoir...!Comme tu as dû souffrir pour avoir pu créer ces poèmes déchirants!Mais dis-moi...ressens-tu cela au quotidien, en permanence?As-tu parfois des moments heureux, des moments d'espoir, de la consolation!Quel homme peut être autant aimé et ne pas te payer de retour? Mais je parle en égoïste.., si tu l'étais, écrirais-tu de si touchant poèmes?Amitié et que l'amour soit bientôt à nouveau dans ta vie!Astrea
    3
    Mardi 26 Mai 2009 à 12:00
    Pas d'accord avec Damien...le grand amour percute nos coeurs plusieurs fois dans nos vies...Chaque amour et chaque rupture nous fait évoluer, et ensuite, avec ce que nous avons compris et appris de nos erreurs, de l'autre, de notre capacité de rebondir....l'amour suivant va encore plus loin, plus profond, je dirais même qu'il est possible d'aimer en 3 dimensions! je vous souhaite sincèrement de connaître cela un jour...On peut aimer comme à 20 ans, même à 40 ans....avec la sagesse, l'expérience....on se livre, on ose prendre des risques, on communique beaucoup plus facilement, tout de suite....on partage aussi différemment, et la souffrance passée nous permet d'apprécier et de savourer avec beaucoup plus d'intensité l'amour présent à ce moment-là...Oui, tout jeune on aime à corps perdu, on a toutes les illusions, on ne se pose pas de questions....on fonce, on y va.....on croit que ça va durer toute la vie, on est emportés par la passion....Plus tard, on construit l'amour chaque jour, on y est attentifs, on le nourrit aussi, on le remet en question, on y développe d'autres facettes, on y apporte nos expériences passées avec tout ce que ça comporte d'adaptations mais de profondeur aussi, on se lie avec toute une trame et plus seulement avec un seul fil.......je dirais que c'est comme une école, on passe chaque fois dans le degré supérieur... je vous souhaite vraiment de connaître cet amour....Il faut oser prendre le risque....comme dit Sardou "le plus douloureux, c'est quand on en guérit.........d'aimer.....(la maladie d'amour....)
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